Marche de l’art Saint Germain en Laye 2022

Je serai présent au 14e marché de l’art de Saint Germain en Laye

Samedi 25 Juin 2022 de 9h00 à 19h00

Pour cette édition, les organisateurs font le choix de présenter des artistes au travail artistique original et singulier.

Pour ma part, je présenterai les encres et les sculpture en bois sur un double stand.

Pour cette deuxième année consécutive, je suis très content de venir vous présenter mon travail durant une journée.

Cette 14e édition sera l’occasion de faire des découvertes qui décoiffent, parmi de nombreuses surprises, notons les peintures très personnelles de l’artiste Sandra Paris qui fait l’affiche cette année. Des créations singulières et des artistes émergeants voilà ce que nous réserve ce Marché de l’Art 2022.

Le Marché de l’Art de St-Germain-en-Laye soutient les artistes au cœur de la Ville depuis 2007. Il a été impulsé par la dynamique d’un groupe d’amis artistes de l’Atelier Pièce Unique et leur désir de partager leur intérêt pour la création artistique actuelle.

Cécile Coutant, qui organise le Marché de l’Art, est aussi la directrice de l’Atelier Pièce Unique, un lieu culturel atypique, à la fois galerie d’art, établissement d’enseignement artistique, boutique beaux-arts et café-restaurant.

Xavier BERNARD portfolio 2022

portfolio Xavier BERNARD 2022

https://www.xavier-bernard.com/wp-content/uploads/2022/03/portfolio-Xavier-BERNARD-2022.pdf

Son univers Xavier BERNARD:

  • la matière brute,
  • l’esprit de la Nature,
  • Le sauvage,
  • L’art géométrique.

Né le 1er mai, jour de la Fête de Belotennia.

Il a étudié le symbolisme, les valeurs, l’histoire celte.

S’appuyant sur la sagesse de ses Ancêtres celtes, Xavier BERNARD synthétise et partage tout cela aujourd’hui à travers son expression artistique. Il sculpte et applique des techniques d’oxydation et de brulage du bois pour réaliser des Cromos (poteau idole) et Palis (planches).

Il dessine à l’encre de chine à la fois des rubans d’énergie et des passages géométriques. Ses réalisations vont du petit format au grand format (12m2 ), de l’installation à la performance, de son atelier à chez vous

58 ème Salon GRANDS FORMATS 2022 Mennecy art

58 ème Salon des GRANDS FORMATS 2022 du 12 au 20 Mars à Mennecy , Essonne, Ile de France

Et voici déjà la 58ème édition du Salon des Grands Formats de l’association « Artistes de notre Région » qui se tiendra comme les années précédentes dans la salle Michel-Ange, la bien nommée, du Parc de Villeroy de Mennecy.

Après la très belle figuration axée sur le corps féminin représentée par nos deux invités d’honneur de la 57ème édition, nous poursuivons notre route éclectique avec cette fois deux représentants emblématiques d’une abstraction radicale, Jean SOYER en peinture et Cristina MARQUÈS en sculpture.

Comme à l’accoutumée, ces deux invités d’honneur seront entourés de plus de 70 artistes soigneusement sélectionnés pour représenter les courants les plus divers de l’art actuel.

 

Invité d’honneur Peintre Jean SOYER

Peintre français né en 1937. Graveur litho de formation il réalise son parcours dans divers domaines de la création (concepteur, illustrateur, directeur artistique).

Il embrasse la carrière de peintre à partir de 1987. Ses œuvres sont exposées en permanence dans des galeries en France (Paris, Montpellier, Saint Malo….) à l’étranger Londres, Lausanne, Hong Kong, dans des Musées : Musée de Gap, Musée Utrillo-Valadon à Sannois.

Expose dans les grands Salons d’Art contemporain nationaux et internationaux : Art Capital, Salon d’Automne à Paris, Bruxelles, Affordable Art Fair et French May à Hong-Kong, Lille, Montreux, Strasbourg, au Parlement Européen à Bruxelles et à Strasbourg.
Ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections privées.

Président du Salon Violet : Salon d’Art contemporain
Membre de la Fondation Taylor

 

Quelques Oeuvres de Jean Soyer

Les œuvres de Jean Soyer resplendissent d’une énergie lumineuse et sensuelle. Des vibrations croisées, des interférences les parcourent, ponctuées de gestes calligraphiques calculés et de déchaînements libérateurs. Alternent des silences et des cris.

Ses formes et ses couleurs jaillissent dans le recueillement à la manière d’une source, ou dans les bourrasques et les stridences lumineuses d’un volcan en ébullition. Nous sommes à la naissance d’un monde issu de l’interaction entre l’eau et la lave en fusion.
Jean Soyer est un artiste tourné vers les autres, animé d’une volonté puissante à communiquer : il nous interpelle en nous montrant ce qui bouillonne en lui.

 

Jean Soyer ne donne jamais de titre à ses œuvres et pourtant son travail nous parle de façon étrange et magique, telle une promesse de découvertes ou d’accomplissement personnel. Un pouvoir salvateur opère comme un retour aux sources de la vie.

 

 

 

Invitée d’honneur Sculpteur Cristina MARQUES

Originaire de Vallauris, Cristina Marquès, dès l’âge de 5 ans, adorait se rendre dans les ateliers des céramistes – potiers. C’est à ce moment qu’elle a su que la transformation de la matière première par la création guiderait sa vie.

A 20 ans, elle quitte le Sud pour rejoindre Paris et apprendre à maîtriser le travail de la matière dont le verre acrylique (aussi appelé Altuglas ou Plexiglas). Diplômée en 2000 de l’école MJM Graphic Design de Paris, elle s’essaie aux métiers d’assistante de décor, d’accessoiriste de plateau pour les Guignols de l’Info sur Canal Plus et d’assistante décor plateau pour plusieurs courts métrages.
En parallèle son travail de recherche sur le méthacrylate et le Plexiglas est récompensé par une médaille d’Argent au Concours Lépine en 2004.
Invitée par le spécialiste du Plexiglas Nino Bavari en 2004, elle rejoint son atelier à Menton où elle acquiert rapidement expérience et savoir-faire.

Quelques Oeuvres de Cristina MARQUÈS

Cristina MARQUÈS parle ainsi de son œuvre :
« Cet instant extraordinaire où je « donne vie » à une œuvre, de mon imagination à ma gestuelle, réfléchie et précise, est d’une intensité telle qu’un duel se joue entre la matière et moi.
Cette joute est le moment privilégié que je recherche qui me fait vivre, qui me fait vibrer !
L’abstrait est mon domaine mais le réel m’intéresse, tels que les univers aquatique, galactique, marin ainsi que les mégalopes, l’environnement, la fraternité-liberté, la flore, la faune, l’écriture…
Une étincelle alors suffit pour m’évader sur le sujet et me lancer sur la piste de danse de la création. »

 

Les Grands Lieux et Musées Celtes et Gaulois

Les Grands Lieux et Musées Celtes et Gaulois

 

Archéologie

Les Grands Lieux et Musées Celtes et Gaulois

Envie de visiter quelques musées ?

Voici quelques adresses incontournables

Strasbourg, musée archéologique

Strasbourg, musée archéologique 2, place du Château, 67000 Strasbourg

Ouverture : lundi, mercredi, jeudi vendredi de 12h à 18h, le week-end de 10h à 18h
Fermeture : le mardi
Téléphone : 03 88 52 50 00

Agen, Musée des Beaux-arts

Agen, Musée des Beaux-arts Place du Docteur Esquirol, 47000 Agen
Ouverture : du mercredi au dimanche, du 1er octobre au 30 avril de 10h à 12h30, puis de 13h30 à 18h ; du 2 mai au 30 septembre de 10h à 18h.
Fermeture : le mardi, le 1er janvier, le 1er mai, le 1er novembre et le 25 décembre.
Téléphone : 05 53 69 47 23

site Internet

Installé dans les hôtels de Vergès, Monluc, Vaurs et Estrades, le musée des Beaux-arts d’Agen possède une riche collection de peintures.
Le département archéologique expose notamment le casque d’Agen, datant de la période de La Tène finale. De forme conique et portant une ornementation rehaussée d’émail, il a été découvert dans la fastueuse tombe à char de Boé (Lot-et-Garonne), mise au jour à quelques kilomètres au sud-est d’Agen. Cette tombe accompagnée d’un important dépôts d’amphores à vin importé d’Italie appartenait à un riche aristocrate guerrier de la période de la Guerre des Gaules.

Bordeaux, Musée d’Aquitaine

Bordeaux, Musée d’Aquitaine 20, cours Pasteur, 33000 Bordeaux
Ouverture : du mardi au dimanche de 11h à 18h
Fermeture : le lundi et les jours fériés

Téléphone : 05 56 01 51 00

site Internet

On peut y voir une statue tricéphale du dieu Cernunnos portant un torque, découverte à Condat-sur-Trincou (Dordogne), et datant du deuxième siècle de notre ère. Au dessus de la tête centrale se trouvent encore les trous dans lesquels on fixait des bois de cerf, attributs de cette divinité d’origine celtique.
On peut y voir une statue tricéphale du dieu Cernunnos portant un torque, découverte à Condat-sur-Trincou (Dordogne), et datant du deuxième siècle de notre ère. Au dessus de la tête centrale se trouvent encore les trous dans lesquels on fixait des bois de cerf, attributs de cette divinité d’origine celtique.

Clermont-Ferrand, Musée Bargoin

Clermont-Ferrand, Musée Bargoin 45 rue Ballainvilliers, 63000, Clermont-Ferrand
Ouverture : du mardi au samedi de 10h à 12h, puis de 13h à 17h ; le dimanche de 14h à 19h
Fermeture : lundi et jours fériés
Téléphone : 03 88 52 50 00

site Internet

Le musée se divise en deux grands départements : les arts textiles et l’archéologie de la Préhistoire à l’époque gallo-romaine. Les collections archéologiques ont été constituées à partir des fouilles régionales, qui ont livré d’importants ensembles numismatiques (monnaies et médailles), dont une grande partie est d’origine gauloise et nous renseigne sur les échanges commerciaux avant la romanisation.
Parmi les collections de l’âge du Fer, on peut voir le casque des Martres de Veyre (Puy-de-Dôme) et la sépulture de Sarliève (Puy-de-Dôme) qui permettent d’évoquer les circuits commerciaux ainsi que les pratiques funéraires gauloises. Les exceptionnelles sculptures votives en bois découvertes à Chamalières (Puy-de-Dôme) donnent quant à elles une idée des pratiques cultuelles de tradition celtique à l’époque gallo-romaine.

Le Puy-en-Velay, Musée Crozatier

Le Puy-en-Velay, Musée Crozatier Jardin Henry Vinay, 43000 Le Puy-en-Velay
Musée actuellement fermé au public
Téléphone : 04 71 06 62 40

site Internet

Le musée, inauguré en 1851, possède une importante collection historique et archéologique retraçant l’histoire de la Haute-Loire. Le célèbre tableau de Lionel Royer, Vercingétorix jette ses armes aux pieds de César, est exposé. Réalisée en 1889, cette œuvre spectaculaire montre comment l’on s’imaginait, encore à la fin du XIXe siècle, l’équipement et le costume des combattants gaulois d’Alésia, que Royer a empruntés surtout à l’âge du Bronze et à la période de Hallstatt, antérieures de plusieurs siècles à la Conquête romaine.

Auxerre, Musée-abbaye Saint-Germain

Auxerre, Musée-abbaye Saint-Germain 2bis, place Saint-Germain, 89000 Auxerre
Ouverture : du mercredi au lundi ; du 1er octobre au 31 mai de 10h à 12h, puis de 14h à 18h ; du 1er juin au 30 septembre de 10h à 18h30
Téléphone : 03 86 18 05 50

site Internet

Le musée est installé dans l’ancienne abbaye de Saint-Germain d’Auxerre. Les collections présentent des objets allant de la Préhistoire au Moyen Âge. La période des âges des Métaux est particulièrement bien représentée.
On peut notamment voir la statuette de cheval en bronze du second âge du Fer découverte à Guerchy (Yonne), qui possède les caractères de l’Art celtique ancien.

Musée de Chalon

Musée de Chalon Place de l’Hôtel de ville, 71100 Chalon-sur-Saône
Ouverture : du mercredi au lundi de 9h30 à 12h, puis de 14h à 17h30
Fermeture : mardi et jours fériés

Téléphone : 03 85 94 74 41

site Internet

Ce musée d’art et d’archéologie a été créé par Dominique Vivant Denon, premier directeur du Louvre, qui a rassemblé des collections du XVIe au XIXe siècle. Les objets archéologiques proviennent des fouilles de la région de la vallée de la Saône et permettent de dresser un panorama de l’histoire de l’occupation humaine depuis la Préhistoire. Les vestiges des âges du Fer, principalement découverts dans la Saône, témoignent de l’activité artisanale, commerciale et cultuelle des habitants de la région. Des maquettes complètent l’exposition.
Une importante collection d’épées gauloises est exposée. Les fourreaux décorés découverts à Montbellet (Saône-et-Loire) témoignent de la maîtrise de l’art de la forge. Sont aussi présentées des pointes de lance venant de Saunières (Saône-et-Loire), décorées d’esses gravées et d’une représentation de masque humain.

Châtillon-sur-Seine, Musée du pays châtillonnais-Trésor de Vix

Châtillon-sur-Seine, Musée du pays châtillonnais-Trésor de Vix 14, rue de la Libération, 21400 Châtillon-sur-Seine
Ouverture : Tous les jours, du 1er septembre au 30 juin de 9h à 12h, puis de 14h à 18h ; du 1er juillet au 31 août de 10h à 19h
Fermeture : le 1er janvier, 1er mai et 25 décembre
Téléphone : 03 80 91 51 76

site Internet

Ce musée, dont les collections s’étendent de la Préhistoire jusqu’au XIXe siècle, expose l’histoire culturelle du Châtillonnais.
La renommée internationale de ce musée est due au « Trésor de Vix ». Découverte en 1953 au pied du mont Lassois et datée du début du Ve siècle avant notre ère, la riche tombe à char de la princesse celtique de Vix a livré le plus grand vase grec en bronze de l’Antiquité. Haut de 1m64 et pesant 208 kg, le cratère de Vix pouvait recevoir plus de 1000 litres de boisson. Cette pièce monumentale est fermée par un couvercle servant à filter le vin, au centre duquel est dressée une statuette féminine en bronze haute de 19 cm.
La « Dame de Vix » était enterrée sur un char à quatre roues tracté par deux chevaux. Elle portait au cou un somptueux torque en or à motifs de petits chevaux ailés. Auprès d’elle, on avait déposé un impressionnant service à boisson comportant le cratère mentionné précédemment, qui servait aux rites des libations et des banquets.

Mirebeau-sur-Bèze, Dépôt de fouilles archéologiques, office de tourisme

Mirebeau-sur-Bèze, Dépôt de fouilles archéologiques, office de tourisme 1bis, rue du Moulin, 21310 Mirebeau-sur-Bèze
Ouverture : du 15 juin au 3 septembre, le lundi de 13h à 17h, du mardi au samedi de 9h à 12h puis de 13h à 17h ; du 4 septembre au 14 juin, le lundi de 13h à 17h et le mercredi de 9h à 12h puis de 13h à 17h.
Fermeture : du 15 juin au 3 septembre, le dimanche et lundi matin ; du 4 septembre au 14 juin, le mardi, de jeudi à lundi matin.
Téléphone : 03 80 36 76 17

site Internet

Ce dépôt de fouilles archéologiques présente le produit des recherches effectuées sur le sanctuaire de Mirebeau-sur-Bèze (Côte-d’Or). Ce site cultuel appartenait au peuple gaulois des Lingons. Une enceinte fut construite au IVe siècle av. J.-C., sur laquelle trois enclos se sont greffés un siècle plus tard. Ils ont été remplacés au IIe siècle av J.-C. par une autre enceinte afin d’agrandir la surface de l’oppidum. Cette phase manifeste une certaine prospérité dont témoigne le mobilier retrouvé. Des armes, des bijoux ou encore des outils marquent l’activité artisanale. À la fin de l’époque gauloise, l’activité du site diminue et son organisation se transforme ; la quantité d’objets retrouvés pour cette époque est moindre. Parmi eux, une grande variété de céramiques, ainsi que des monnaies d’or, d’argent ou encore de bronze, appartiennent à des offrandes pour obtenir la protection des dieux.

Bibracte, Musée de la civilisation celtique

Bibracte, Musée de la civilisation celtique 71990 Saint-Léger-sous-Beuvray
Ouverture : Tous les jours, de 10h à 18h, jusqu’à 19h en juillet et août.
Téléphone : 03 85 86 52 35

site Internet

Situé au sommet du Mont Beuvray (Saône-et-Loire), l’oppidum de Bibracte était la capitale du peuple des Éduens. C’est là que le jeune Vercingétorix fut nommé chef de la coalition gauloise et que César acheva d’écrire, après sa victoire d’Alésia, ses Commentaires sur la Guerre des Gaules.
Les collections permanentes du musée présentent les vestiges découverts à Bibracte, qui sont replacés dans le cadre plus large de la culture européenne des oppida. Plusieurs aspects thématiques sont abordés, comme la guerre, les échanges et les productions agricoles, de même que les éléments de la vie quoditienne retrouvés dans les sépulturtes et les habitats. Le musée expose notamment la copie d’un rarissime casque gaulois en bronze travaillé en forme de cygne, qui provient du sanctuaire de Tintignac (Corrèze).

Orléans, Musée historique et archéologique de l’Orléanais

Orléans, Musée historique et archéologique de l’Orléanais Square Abbé Desnoyers, 45000 Orléans
Ouverture : d’octobre à avril, le mercredi de 13h30 à 17h45, le dimanche de 14h à 18h ; en mai, juin et septembre, du mardi au samedi de 13h30 à 17h45, le dimanche de 14h à 18h ; en juillet et août, du mardi au samedi de 9h30 à 12h15, puis de 13h30 à 17h45, le dimanche de 14h à 18h.
Fermeture : le 1er janvier, les 1er et 8 mai, le 14 juillet, les 1er et 11 novembre, le 25 décembre. Téléphone : 02 38 79 25 60

Site Internet

Fondé en 1823, ce musée s’est implanté en 1862 dans l’hôtel Cabu, la maison dite de Diane de Poitiers. Les collections sont consacrées à l’architecture du Moyen Âge et de la Renaissance, ainsi qu’à l’histoire d’Orléans. Le musée conserve l’ensemble dit du Trésor de Neuvy-en-Sullias (Loiret) découvert en 1861, et dont le musée a acquis une partie en 1864. Il s’agit d’un ensemble exceptionnel de statues en bronze d’époques gauloise et gallo-romaine, qui devaient appartenir à un sanctuaire.
Des représentations animales sont exposées, tels un grand cheval en bronze de près d’un mètre, ainsi qu’un sanglier grandeur nature ou encore un petit cerf. La statuette de la « grande danseuse », qui représente un personnage féminin nu, évoque par sa silhouette élancée les œuvres contemporaines de Giacometti.

Saint-Marcel, Musée archéologique d’Argentomagus

Saint-Marcel, Musée archéologique d’Argentomagus Les Mersans, 36200 Saint-Marcel
Ouverture : du 1er septembre au 30 juin, du mercredi au lundi de 9h30 à 12h, puis de 14h à 18h ; du 1er juillet au 31 août, tous les jours, de 9h30 à 12h et de 14h à 18h.
Fermeture : mardi, du 24 décembre au 1er janvier inclus et les trois premières semaines de janvier.
Téléphone : 02 54 24 47 31

Site Internet

Les collections de ce musée s’étendent des temps préhistoriques à la fin de l’époque romaine. Plusieurs statues d’origine protohistorique offrent un aperçu des divinités du panthéon gaulois. Des monnaies provenant d’ateliers gaulois sont aussi présentées.

Châlons-en-Champagne, Musée des beaux-arts et d’archéologie

Châlons-en-Champagne, Musée des beaux-arts et d’archéologie Place Alexandre Godart, 51022 Châlons-en-Champagne
Ouverture : lundi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi de 14h à 18h, dimanche de 14h30 à 18h30.
Fermeture : le mardi et les jours fériés.
Téléphone : 03 26 69 38 53

Site Internet

Le musée des Beaux-arts et d’archéologie de Châlons-en-Champagne possède une grande variété de collections : histoire naturelle, mobilier moderne, objets d’art, sculptures ou encore peintures européennes sont exposés.
Pour ce qui concerne l’archéologie celtique, on peut y voir l’exceptionnel fourreau d’épée décoré de Cernon-sur-Coole (Marne), qui date du IVe siècle av. J .-C., et sur lequel d’étranges masques animaux émergent d’un décor végétal exhubérant.

Épernay, Musée municipal

Épernay, Musée municipal 13, avenue de Champagne, 51200 Épernay
Musée actuellement fermé au public. Accessible aux chercheurs sur rendez-vous.

Site Internet

En cours de restructuration, le Musée municipal d’Épernay est fermé. Les collections archéologiques sont principalement constituées de séries régionales couvrant une large période allant de la Préhistoire à l’époque mérovingienne.
Pour la période gauloise, le musée possède un important mobilier issu des fouilles des de nombreuses nombreuses nécropoles celtiques de la région d’Épernay. L’équipement domestique est représenté par de nombreuses céramiques, tandis qu’une série d’éléments de parure est constituée de fibules et de torques en bronze des Ve-IVe siècles av. J.-C. En particulier, le cimetière des Jogasses (Marne) a livré un riche ensemble d’objets des VIe et Ve siècles av. J.-C., qui datent des débuts de la période de la Tène en Champagne.

Reims, Musée Saint-Remi

Reims, Musée Saint-Remi 53, rue Simon, 51100 Reims
Ouverture : tous les jours, de 14h à 18h30 en semaine, et jusqu’à 19h le week-end.
Fermeture : les 1er janvier, 1er mai, 14 juillet, 1er et 11 novembre et 25 décembre.
Téléphone : 03 26 85 23 36

Site Internet

Le musée Saint-Remi est consacré à un panorama de de l’histoire culturelle de la région rémoise de la Préhistoire à la Renaissance.
Les collections archéologiques donnent un aperçu de la culture matérielle de la période celtique des Ve et IVe siècles en Champagne, qu’ont révélé les nombreuses nécropoles fouillées depuis la fin du XIXe siècle autour de Reims. Sont exposés les éléments de harnachement de chevaux en bronze découverts à Ville-sur-Retourne (Ardennes), qui portent un décor géométrique typique de l’art celtique ancien de Champagne. Le vase peint de Prunay (Marne) illustre quant à lui une phase plus tardive de l’art celtique, dans laquelle les motifs typiquement celtiques d’esses et de triscèles commencent à présenter une allure plus baroque.

Troyes, Musée Saint-Loup

Troyes, Musée Saint-Loup Rue Chrestien de Troyes, 10000 Troyes
Ouverture : du 2 mai au 30 septembre, le lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 10h à 13h, puis de 14h à 19h, le samedi et dimanche de 11h à 19h ; du 1er octobre au 30 avril, le lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 10h à 12h, puis de 14h à 17h, le samedi et dimanche de 11h à 18h.
Fermeture : le mardi, le 1er janvier, le 1er mai, le 1er novembre et le 25 décembre.
Téléphone : 03 25 76 21 68

Site Internet

Le musée est installé dans l’ancienne abbaye Saint-Loup, non loin de la cathédrale. Il rassemble à la fois des objets d’art, d’histoire naturelle et d’archéologie grecque ou égyptienne, ainsi que des collections d’archéologie celtique issues des fouilles entreprises dans la région.
Le bracelet de « La Charme » (Aude) est notamment présenté. Cette pièce exeptionnelle datée du IIIe siècle avant notre ère, d’environ huit centimètres de diamètre, est décorée sur toute sa circonférence de motifs de masques humains en faible relief.

Belfort, Musée d’histoire

Belfort, Musée d’histoire Citadelle de Belfort, 90004 Belfort
Ouverture : du mercredi au dimanche, du 1er juin au 30 septembre de 10h à 18h ; du 1er octobre au 31 mai de 10h à 12h, puis de 14h à 17h.
Fermeture : le mardi, le 1er novembre, 15 décembre et 1er janvier.
Téléphone : 03 84 54 25 51

Site Internet

Dominant la ville, le musée est installé dans une ancienne caserne, à l’emplacement du château médiéval. Les collections archéologiques illustrent l’histoire de l’occupation humaine de la région depuis la Préhistoire.
Plusieurs objets d’origine celtique sont exposés, notamment une épée et son fourreau décoré en bronze découverts à Méroux (Franche-Comté), datant du IVe siècle av. J.-C. Durant la période de La Tène, les épées ont tendance à s’allonger pour s’adapter au combat de cavalerie, tandis que les entrées de fourreaux se couvrent de motifs symboliques, comme en particulier des profils de dragons affrontés.

Besançon, Musée des beaux-arts et d’archéologie

Besançon, Musée des beaux-arts et d’archéologie 1, place de la Révolution, 25000 Besançon
Ouverture : le lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 9h30 à 12h, puis de 14h à 18h ; le week-end de 9h30 à 18h.
Fermeture : le 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre.
Téléphone : 03 81 87 80 49

Site Internet

Situé sur la place du marché de Besançon, le musée possède une importante collection d’œuvres d’art du Moyen Âge au XIXe siècle, et une série d’objets archéologiques allant de la Préhistoire au Moyen Âge, issus de la région de Besançon.
De nombreux objets datant des âges du Fer sont exposés, notamment des sculptures votives. La tête en bois découverte à Luxeuil-les-Bains (Haute-Saône) du premier siècle de notre ère présente un visage stylisé. Le torque porté autour du cou indique qu’il s’agit vraisemblablement d’une représentation de divinité d’origine celtique.
Une poignée d’épée anthropomorphe a été mise au jour lors des fouilles de l’arsenal au XIXe siècle. Un visage en trois dimensions est situé à l’extrémité. Les yeux se distinguent par deux légers creux. Entre le nez et la bouche en faible relief, une longue et épaisse moustache s’étend sur les deux joues. Le corps est divisé en deux par un large anneau d’où émergent les bras et les jambes sous forme de cylindres incurvés.

Évreux, musée d’art, histoire, archéologie-musée de l’Ancien évêché

Évreux, musée d’art, histoire, archéologie-musée de l’Ancien évêché 6, rue Charles Corbeau, 27000 Évreux
Ouverture : du mardi au dimanche de 10h à 12h, puis de 14h à 18h.
Fermeture : le lundi, le 1er janvier, 1er mai, 1er et 11 novembre et 25 décembre.
Téléphone : 02 32 31 81 90

Site Internet

Fondé en 1872 et installé dans l’ancien palais épiscopal, le musée conserve des collections d’antiquité, de beaux-arts, d’arts décoratifs et d’ethnologie. L’archéologie régionale est représentée par le mobilier provenant en particulier des fouilles du site du Vieil-Évreux (Eure) et présente un ensemble de pièces allant de la Préhistoire au Moyen Âge.
Parmi les objets celtiques, sont notamment exposés des sculptures animales telles qu’un sanglier, un cheval ou une colombe découverts au Vieil-Évreux (Eure).
On peut aussi voir la sculpture d’un grand taureau en bronze sur une âme de bois datant du IVe siècle av. J.-C.

Guiry-en-Vexin, Musée archéologique du Val d’Oise

Guiry-en-Vexin, Musée archéologique du Val d’Oise 4, place du Château, 95450 Guiry-en-Vexin
Ouverture : le lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30 ; les week-ends et jours fériés du 15 mars au 10 octobre de 10h à 12h, puis de 14h à 19h ; du 15 octobre au 14 mars de 13h30 à 18h30.
Téléphone : 01 34 67 45 07

Site Internet

Issues de fouilles menées dans le Val-d’Oise, les collections du musée se composent de plus de 35 000 objets qui datent du Paléolithique au XVIIe siècle.
Les collections des âges du Fer sont représentées par de nombreux objets issus de contextes funéraires tels que des armes provenant du cimetière gaulois d’Épiais-Rhus (Val-d’Oise).

Nemours, musée départemental de Préhistoire d’Île-de-France

Nemours, musée départemental de Préhistoire d’Île-de-France 48, avenue Étienne Dailly, 77140 Nemours
Ouverture : du jeudi au mardi de 10h à 12h30, puis de 14h à 17h30. Ouvert jusqu’à 18h en juillet et août.
Fermeture : les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre.
Téléphone : 01 64 78 54 80

Site Internet

Le musée offre un panorama de l’occupation humaine en Île-de-France, du Paléolithique jusqu’à la fin de la période gauloise. La muséographie propose un parcours double, un premier qui oriente la visite chronologiquement, et un second qui approfondit en parallèle l’exposition.
Pour la période gauloise, le musée possède le poignard en fer du IIIe siècle av. J.-C. découvert à Châtenay-sur-Seine (Seine-et-Marne) dont la poignée est surmontée d’une représentation de tête humaine, ou encore un casque italo-celtique en feuilles de bronze.

Paris, Cabinet des médailles et antiques-Département des monnaies, médailles et antiques de la Bibliothèque nationale de France

Paris, Cabinet des médailles et antiques-Département des monnaies, médailles et antiques de la Bibliothèque nationale de France 5, rue Vivienne, 75002 Paris
Ouverture : tous les jours, du dimanche au vendredi de 13h à 18h ; le samedi de 13h à 17h.
Téléphone : 01 53 79 83 40

Site Internet

« Plus ancien musée de France », le Cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale de France trouve son origine dans le Trésor des rois de France, constitué depuis le Moyen Âge. Le Cabvinet des Médailles expose environ 520 000 monnaies et médailles dont 15 000 d’origine gauloise, qui consituent la première collection de numismatique celtique au monde, devant celle du Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. Parmi les pièces d’art celtique ancien, on peut admirer le disque d’Auvers-sur-Oise (Val-d’Oise), qui ,portent des motifs caractéristiques de l’art du Ve siècle av. J.-C.

Paris, Musée national du Moyen Âge-Thermes et hôtel de Cluny

Paris, Musée national du Moyen Âge-Thermes et hôtel de Cluny 6, place Paul Painlevé, 75005 Paris
Ouverture : du mercredi au lundi de 9h15 à 17h45
Fermeture : le mardi
Téléphone : 01 53 73 78 16

Site Internet

Situé au centre de Paris, dans les thermes monumentaux de l’ancienne ville romaine, ce musée possède une collection de premier de pièces d’art du Moyen âge. Cependant, une série d’œuvres exceptionnelles, qui sont antérieures à la période médiévale, sont exposés dans le frigidarium, comme le célèbre pilier des Nautes mis au jour au XVIIIe siècle dans le sous-sol de Notre-Dame. Les quatres faces de ce grand monument en pierre sont sculptées en bas relief et portent des représentations de divinités du panthéon gaulois, comme en particulier Cernunnos, le dieu à la ramure de cerf. On y voit aussi des monnaies et des parure d’origine gauloise comme le torque en or de Soucy (Yonne), qui permet d’admirer l’excellence technique des joailliers gaulois.

Saint-Germain-en-Laye, Musée d’archéologie nationale

Saint-Germain-en-Laye, Musée d’archéologie nationale Place Charles de Gaulle, 78100 Saint-Germain-en-Laye
Ouverture : du mercredi au dimanche de 10h à 17h15.
Fermeture : le mardi
Téléphone : 01 39 10 13 00

Site Internet

Ancienne résidence royale, reconstruite au XVIe siècle sous François Ier et entièrement restauré au XIXe siècle, le château de Saint-Germain-en-Laye est devenu en 1862, à l’initiative de Napoléon III, un musée national d’archéologie, dédié à l’archéologie de la France, des origines de la Préhistoire à la période de Charlemagne.
Les collections exposées, qui comportent plus de 30 000 pièces, sont réparties selon un parcors chronologique, qui va du Paléolithique à la période mérovingienne. Une dernière section, d’archéologie comparée, permet de replacer l’archéologie de la France dans le contexte mondial de l’histoire générale des civilisations.
La période gauloise de l’époque de La Tène est particulièrement bien représentée. Les origines de la civilisation gauloise des Ve et IVe siècles av. J.-C. sont évoquée par le très important mobilier provenant des cimetières gaulois de Champagne, qui ont livré de nombreuses armes (épées, pointes de lance) et éléments de parures (torques, bracelets, fibules), ainsi que de délicates œuvres d’Art celtique. En particulier, le disque de harnachement de cheval de Cuperly (Marne) constitue un chef d’œuvre de l’Art celtique champenois du Ve siècle av. J.-C., dont la réalisation repose sur les conceptions mathématiques du savant grec Pythagore.
La période d’apogée de l’Art celtique du IIIe siècle av. J.-C. est représentée par l’extraordinaire ensemble de bronzes d’art celtique récemment découvert à Roissy-en-France (Val-d’Oise). Le « couvercle aux dragons » est l’une des pièces maitresses de ce style d’allure baroque, typique des créateurs gaulois du Bassin parisien. Réalisé à la cire perdue, cette pièce est constituée de trois registres superposés : à la base, dix gueules de monstres sont enchaînées les uns aux autres, tandis que trois dragons grimaçants, aux yeux mi-clos, occupent le registre central. L’ensemble est surmonté d’un gros bouton constitué d’éléments provenant des yeux, des oreilles et de la crinière de ces monstres gaulois.
La période de la Guerre des Gaules est représentée par une impressionnante collection d’armes gauloises et romaines provenant des fouilles du siège d’Alésia, à Alise-Sainte-Reine (Côte-d’Or). Un important ensemble de mobilier domestique (céramique, outillage, éléments de parure) provient du grand oppidum de Bibracte, la capitale de l’influent peuple gaulois des Eduens. Le musée d’Archéologie nationale de Saint-Germain conserve par ailleurs la seconde plus importante collection de monnaies gauloises, après celle du Cabinet des Médailles de la Bibliothèque nationale, dont une partie est exposée au public.

Nîmes, Musée archéologique

Nîmes, Musée archéologique 13, boulevard Amiral-Courbet, 30000 Nîmes
Ouverture : du mardi au dimanche de 10h à 18h.
Fermeture : le lundi, le 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre.
Téléphone : 04 66 76 74 80

Site Internet

Installé depuis la fin du XIXe siècle dans l’ancien collège des Jésuites, le musée archéologique de Nîmes conserve principalement des objets issus de fouilles régionales datant de la Protohistoire au Moyen Âge. Des céramiques grecques, italiotes et étrusques y sont exposées également, à la suite de legs et d’un dépôt de l’État.
On peut y admirer l’énigmatique buste en pierre du « guerrier au grand casque » découvert à Sainte-Anastasie (Gard), qui date du VIIe ou VIe siècle. Il s’agit d’une des plus anciennes sculptures trouvées dans la région de Nîmes.

Metz, Musée de la Cour d’Or

Metz, Musée de la Cour d’Or Metz, Musée de la Cour d’Or
2, rue du Haut-Poirier, 57000 Metz
Ouverture : lundi, mardi, jeudi, vendredi de 9h à 17h, le week-end de 10h à 17h.
Fermeture : mardi, les 1er janvier, vendredi Saint, 1er mai, 14 juillet, 1er et 11 novembre, 24-26 et 31 décembre.
Téléphone : 03 87 20 13 20
Site Internet

Au sein du musée de la Cour d’or, la section d’histoire et d’archéologie conserve une vaste collection de pièces régionales qui s’étend de la préhistoire à la Renaissance. Le mobilier de la tombe à char découverte lors de fouilles préventives réalisées à Mondelange (Moselle) est présenté, avec de nombreux éléments de parure celtique des Ve-IVe siècles avant J.-C., qui ont été mis au jour dans le cimetière communautaire développé autour de cette tombe aristocratique de l’extreme fin du VIe siècle avant J.-C. Les origines gauloises de Metz sont représentées par le mobilier issu des sépultures à incinération du IIIe siècle av. J.-C. découvertes sur le site des « Hauts de Sainte-Croix », au sommet de l’ancien oppidum de Divodurum.

Tarbes, Musée Massey

Tarbes, Musée Massey Mairie de Tarbes, 1 place Jean Jaurès, 65013 Tarbes
Ouverture : (à venir au 1er semestre 2012)
Téléphone : 05 62 44 36 90

Site Internet

Le musée a ouvert ses portes au premier semestre 2012. Les fonds se composent de la collection historique des hussards, ainsi que d’une collection de beaux-arts et d’archéologie qui retrace l’histoire de l’occupation humaine de la région des Hautes-Pyrénées par l’intermédiaire de plus de 6000 objets.
Dans la section archéologique, est exposé le masque datant du IIIe siècle découvert à Montsérié (Hautes-Pyrénées). Le Mont Ergé, sur lequel se situe l’oppidum dont provient cette pièce exceptionnelle, conserve les vestiges d’une importante occupation préhistorique et protohistorique. Des tumuli et des habitats y ont été découverts, mais le site a abrité également un lieu de culte en l’honneur de divinités gauloises locales, ainsi que des dieux romains Mars et Jupiter.

Toulouse, Musée Saint-Raymond-Musée des Antiques de Toulouse

Toulouse, Musée Saint-Raymond-Musée des Antiques de Toulouse 1ter, place Saint-Sernin, 31000 Toulouse
Ouverture : Tous les jours, de 10h à 18h, jusqu’à 19h de juin à septembre.
Téléphone : 05 61 22 21 44

Site Internet

Situé à proximité de la basilique Saint-Sernin, ce musée conserve une importante collection de pièces archéologiques provenant de la région de Toulouse et couvrant une large période, qui va de l’âge du Bronze jusqu’au VIIIe siècle de notre ère. La section protohistorique présente notamment les origines préromaines de la ville de Toulouse, grâce à des maquettes qui permettent de restituer l’extension et l’organisation générale de l’agglomération protohistorique.
Les collections des âges du Fer renferment des chefs d’œuvre d’art celtique du IIIe siècle av. J.-C., comme en particulier les pièces d’orfêvrerie de Lasgraïsses (Tarn) ou encore les torques en or torsadé de Fenouillet (Haute-Garonne), qui proviennent vraisemblablement de dépôts de sanctuaires. Les fouilles des puits à offrandes de Vieille-Toulouse, auxquels on suppose une fonction rituelle, ont livré un exceptionnel seau en bois cerclé en tôle de bronze ornée au repoussé de motifs d’art celtique. Ce type de pièce appartient à la vaisselle de luxe utilisée pour les banquets de l’aristocratie celtique.

Beauvais, Musée départemental de l’Oise

Beauvais, Musée départemental de l’Oise 1, rue du Musée, 60000 Beauvais
Ouverture : du mercredi au lundi, du 1er octobre au 30 juin de 10h à 12h, puis de 14h à 18h ; du 1er juillet au 30 septembre de 10h à 18h.
Fermeture : le mardi, le 1er janvier, lundi de Pâques, 1er mai, lundi de Pentecôte, 1er novembre et 25 décembre.
Téléphone : 03 44 10 40 50

Site Internet

À proximité de la cathédrale, le musée est installé dans l’ancien palais des comtes-évêques de Beauvais. Les collections comportent à la fois des pièces archéologiques et des objets d’art qui couvre une période datant de la Protohistoire jusqu’au XXe siècle.
La statuette d’un guerrier gaulois du Ier siècle av. J.-C., découverte en 1984 dans le sanctuaire de Saint-Maur-en-Chaussée (Oise) est notamment exposée. Haute de cinquante centimètres, elle a été réalisée en tôle de bronze repoussée et martelée, etr représente un personnage masculin équipé d’un bouclier.

Soissons, Musée de Soissons

Soissons, Musée de Soissons 2, rue de la Congrégation, 02200 Soissons
Ouverture : Tous les jours, du 1er octobre au 31 mars du lundi au vendredi de 9h à 12h, puis de 14h à 17h, le week-end de 14h à 18h ; du 1er avril au 30 septembre du lundi au vendredi de 9h à 12h, puis de 14h à 18h, le week-end de 14h à 19h.
Téléphone : 03 23 55 94 73

Site Internet

Les collections du musée sont consacrées aux vestiges archéologiques de la vallée de l’Aisne depuis le Néolithique jusqu’au haut Moyen Âge, et sont alimentées par les fouilles réalisées depuis le XIXe siècle, en particulier dans une série importante de nécropoles gauloises. Le mobilier d’une tombe masculine de Bucy-le-Long (Aisne) comporte des vases décorés de chevrons, une épée et son fourreau, ainsi qu’un ensemble de pointes de lance. Les tombes féminines contiennent des éléments de parure métallique, comme en particulier des torques en bronze. Le musée de Soissons présente une exceptionnelle pendeloque de forme humaine découverte dans la tombe féminine de Vasseny (Aisne), qui date du début de la période de La Tène.

Angoulême, Musée d’Angoulême

Angoulême, Musée d’Angoulême 1, rue de Friedland, 16000 Angoulême
Ouverture : du mardi au dimanche de 10h à 18h.
Fermeture : le lundi, le 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre.
Téléphone : 05 45 95 79 88

Site Internet

Installé dans l’ancien évêché depuis 1920, à proximité de la cathédrale Saint-Pierre, ce musée possède des collections d’art primitif, d’œuvres européennes de la période moderne et d’objets archéologiques datant de la Préhistoire jusqu’au Moyen Âge, issus de fouilles régionales.
De nombreux vestiges de la période gauloise sont exposés tels que des armes, des objets cultuels et de la vie quotidienne. L’exceptionnel casque d’Agris, qui date du IVe siècle av. J.-C., a été découvert dans la grotte des Perrats (Charente). Cette pièce d’apparat est composée d’un assemblage complexe d’éléments en fer, bronze, or, argent et corail. Le décor puise ses motifs dans le vocabulaire végétal à travers esses et palmettes, et animal avec la représentation d’un serpent cornu, attribut du dieu Cernunnos.

Aix-en-Provence, Musée Granet

Aix-en-Provence, Musée Granet Place Saint-Jean-de-Malte, 13100 Aix–en-Provence
Ouverture : du mardi au dimanche, de juin à septembre de 11h à 19h ; d’octobre à mai de 12h à 18h.
Téléphone : 04 42 52 88 32

Site Internet

Présentant essentiellement des peintures du XIVe au XXe siècle ainsi qu’une galerie de sculptures, ce musée consacre deux salles à l’archéologie, dans lesquelles sont exposées les sculptures celtiques mises au jour dans l’oppidum d’Entremont, l’ancienne capitale du peuple des Salyens, située au nord d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).
De nombreux éléments de sculpture et d’architecture sont exposés. Les sculptures représentent d’impressionnants guerriers assis en tailleur, dont certains tenaient des têtes coupées entre leurs mains. Cet ensemble exceptionnel, qui date du IIIe siècle av. J.-C., paraît avoir appartenu à un portique dans lequel étaient exposés les grands ancêtres de l’aristocratie militaire gauloise d’Entremont.

Avignon, Musée lapidaire-Collection archéologique de la Fondation Calvet

Avignon, Musée lapidaire-Collection archéologique de la Fondation Calvet 27, rue de la République, 84000 Avignon
Ouverture : du mardi au dimanche de 10h à 13h, puis de 14h à 18h.
Fermeture : le lundi, le 1er janvier, 1er mai et 25 décembre.
Téléphone : 04 90 84 75 38

Site Internet

Le Musée lapidaire d’Avignon est une annexe du musée Calvet. Il est installé dans la chapelle du collège des Jésuites et conserve des collections gallo-romaines, médiévales, mais aussi égyptiennes, grecques et étrusques.
Parmi les objets d’art celtique, figure l’intrigante sculpture en pierre dite de la « Tarasque de Noves » (Bouches-du-Rhône). Cette œuvre unique a été mise au jour en 1849. Datée du Ier siècle avant notre ère, elle représente un monstre dévoreur d’hommes assis sur ses pattes arrières. Son dos semble couvert d’écaille, entre ses jambes se dresse un sexe en érection. Dans ses griffes, le monstre tient deux têtes humaines aux yeux clos déposées devant lui.

Marseille, Musée d’archéologie méditerranéenne

Marseille, Musée d’archéologie méditerranéenne
2, rue de la Charité, 13002 Marseille
Ouverture : du 1er octobre au 31 mai de 10h à 17h, du 1er juin au 30 septembre de 11h à 18h.
Fermeture : le lundi et jours fériés.
Téléphone : 08 99 23 59 90

Site Internet

Divisé en trois départements, le Musée d’archéologie méditerranéenne de Marseille expose des antiquités égyptiennes, classiques et d’archéologie régionale. Les collections d’archéologie celtique proviennent en particulier des oppida de Provence, tels que Constantine (Bouches-du-Rhône), où a été trouvé un vase en pierre dédié au dieu celtique Benelos. L’oppidum de la Cloche (Bouches-du-Rhône) a livré les restes d’une statue de guerrier assis en tailleur. À la Teste-Nègre (Bouches-du-Rône) ont été mis au jour plusieurs objets de parure, d’un type représenté sur les statues de guerriers.
Une importante collection d’éléments lapidaires provient de l’oppidum de Roquepertuse (Bouches-du-Rhône), situé au nord de Marseille. Cette agglomération celtique fortifiée était pourvue de constructions monumentales en pierre.
Le site a livré en particulier les restes d’une portique en pierre creusé d’une série d’alvéoles destinées à recevoir des crânes humains, vraisemblablement les têtes coupées des chefs ennemis vaincus. De Roquepertuse provient également le fameux relief bicéphale, qui représente deux têtes humaines masculines jointes par l’arrière du crâne.

Lyon, Musée de la civilisation gallo-romaine de Lyon-Fourvière

Lyon, Musée de la civilisation gallo-romaine de Lyon-Fourvière 17, rue Cléberg, 69005 Lyon
Ouverture : du mardi au dimanche de 10h à 18h.
Fermeture : le lundi, le 1er janvier, le 1er mai, le 1er novembre et le 25 décembre.
Téléphone : 04 72 38 49 30

Site Internet

Situé au cœur de l’ancienne capitale romaine de Lugdunum, le Musée de la civilisation gallo-romaine présente principalement les découvertes archéologiques de Lyon romain.
On y voit de nombreux objets d’origine celtique tels que le calendrier de Coligny (Ain). Datée du second siècle, cette grande plaque de bronze nous est parvenue incomplète. Elle a été découverte dans un état fragmentaire en 1897, dans un champ. Une statue de divinité identifiée comme Mars accompagnait les fragments. Reconstitué, le calendrier mesure environ 1,50 sur 0,90 mètre ; le texte est en langue gauloise, gravé en caractères romains. Les noms des douze mois de l’année gauloise y sont inscrits.

Karlsruhe, Badisches Landesmuseum

Karlsruhe, Badisches Landesmuseum Schloßbezirk 10, 76133 Karlsruhe
Ouverture : du mardi au jeudi de 10h à 17h, du vendredi au dimanche et les jours fériés de 10h à 18h.
Fermeture le lundi.
Téléphone : (+49) 0721 926 6514

Site Internet

Édifié au début du XVIIIe siècle, le château de Karlsruhe abrite aujourd’hui un musée d’art et d’archéologie dont les collections s’étendent de la Préhistoire à nos jours.
Les objets protohistoriques proviennent pour la plupart du pays de Bade, comme le casque de Manheim (Bade-Wurtemberg), découvert dans une gravière et daté du Ier siècle avant notre ère. Coulé en bronze, en une seule pièce, il est décoré à sa base. Des perforations sur les côtés servaient à fixer les paragnathides protégeant les joues.
Est aussi exposée la curieuse tête en grès d’un personnage dont le visage est encadré de deux feuilles, qui a été découverte à Heidelberg (Bade-Wurtemberg). Cette pièce énigmatique (élément de monument funéraire ?) est datée d’une période située entre la fin du Ve et le début du IVe siècle av. J.-C.
La fibule en bronze d’Oberwittighausen (Bade), datée du Ve siècle, comporte deux têtes barbues superposées. Les yeux ronds sont surmontés de sourcils saillants tandis que les larges lèvres ont des commissures perlées. Sur le visage supérieur s’élèvent deux oreilles pointues.

Stuttgart, Landesmuseum Württembergisches

Stuttgart, Landesmuseum Württembergisches Schillerplatz 6, 70173 Stuttgart
Ouverture : du mardi au dimanche de 10h à 17h.
Fermeture : le lundi
Téléphone : (+49) 0711 89 535 111

Site Internet

Fondé en 1869, le musée du Land de Wurtemberg est le principal musée d’histoire et d’archéologie du Bade-Wurtemberg. Les collections archéologiques se déploient dans le « Nouveau château », sur la place centrale de Stuttgart, et couvrent une large période s’étendant du Paléolithique au Moyen Âge.
Pour la période celtique, le musée expose de nombreux vestiges issus de contextes funéraires telles que les perles d’or à décor repoussé de la tombe de Schökingen, les bracelets et fibules en or de la tombe de Hochdorf ou encore une coupe en or de la tombe de Bad-Cannstatt et le vase de la tombe à char de Burrenhof. Ces objets témoignent de l’excellence du savoir-faire des artisans celtiques.

Munich, Archäologische Staatssammlung München-Museum für vor- und Frühgeschichte

Munich, Archäologische Staatssammlung München-Museum für vor- und Frühgeschichte Lerchenfeldstraße 2, 80538 München
Ouverture : Du mardi au dimanche de 9h30 à 17h
Fermeture : le lundi
Téléphone : (+49) 089 2112-402

Site Internet

Ce musée archéologique retrace l’histoire de la Bavière depuis les origines de l’occupation humaine dans la région jusqu’à l’époque de Charlemagne. Une salle est consacrée à la civilisation de la Tène, où une importante collection de pièces provenant de Großbissendorf (Neumarkt) est conservée.
On peut aussi admirer l’agrafe de ceinture triangulaire en bronze du IVe siècle av. J.-C., découverte à Hölzelsau (Autriche), qui témoigne du savoir-faire artisanal celtique et des modes vestimentaires de l’époque. Une délicate représentation d’arbuste dant du IIIe siècle avant notre ère, et découverte en 1984 dans les fouilles de l’oppidum de Manching (Haute-Bavière), est aussi visible. Le tronc, recouvert de feuilles d’or, est orné de feuilles de lierre en bronze.

Bonn, Rheinisches Landesmuseum, Bonn

Bonn, Rheinisches Landesmuseum, Bonn Colman str. 14-16, 53115 Bonn
Ouverture : mardi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche de 10h à 18h ; le mercredi de 10à 21h
Fermeture : le lundi
Téléphone : (+49) 0228/2070-0

Site Internet

Fondé en 1820, le Musée régional rhénan est l’un des plus anciens musées d’Allemagne. Il est consacré à l’histoire et à l’art de la Rhénanie, de la Préhistoire à nos jours. Un fragment du pilier en grès de Pfalzfeld (Rhénanie) est notamment exposé. Quatre masques humains surmontés d’une coidffure en forme de feuilles de gui sont sculptés en bas-relief sur les quatre faces du monument. Cette pièce énigmatique (monument funéraire ?) est datée de la fin du Ve ou du début du IVe siècle av. J.-C.
Le mobilier de la fastueuse tombe à char de la princesse de Waldalgesheim (Rhénanie-Palatinat), enterrée vers 320 av. J.-C., est composé d’un ensemble d’éléments de parure en or, qui constituent des chefs d’œuvre de l’art celtique ancien rhénan. C’est à partir de ces objets qu’a été défini le « style de Waldalgesheim », qui définit une nouvelle phase de l’évolution de l’art celtique ancien typique du IVe siècle av. J.-C. Cette extraordinaire sépulture montre que l’inhumation dans des tombes à char n’était pas réservée aux élites masculines.

Trèves, Rheinisches Landesmuseum Trier

Trèves, Rheinisches Landesmuseum Trier Weimarer Allee 1, 54290 Trèves
Ouverture : du mardi au dimanche de 10h à 17h
Fermeture : le lundi, les 7 et 8 mars, 24, 25, 26 et 31 décembre, 1er janvier
Téléphone : (+49) 0651/9774-0

Site Internet

Ce musée archéologique, l’un des plus importants d’Allemagne, dresse un panorama de l’occupation humaine et de l’histoire culturelle de la région rhénane, de la Préhistoire à la fin du XVIIIe siècle. Les collections sont régulièrement alimentées par les nouvelles découvertes archéologiques.
Dans la section des âges du Fer, on peut admirer en particulier les objets d’art celtique ancien découverts dans la tombe princière de Weiskirchen (Sarre), qui datent du Ve siècle avant notre ère : une agrafe de ceinture en bronze orné d’incrustations de corail représente des quadrupèdes ailés (sphinx ?) encadrant un masque humain central. Une fibule est ornée d’un masque central entouré de têtes grimaçantes, tandis qu’une plaque en or et en fer présente un décor exhubérant de palmettes et de masques humains. Une statuette de cheval en bronze du IVe siècle av. J.-C. et découverte en contexte funéraire à Freisen (Sarre) pourrait avoir décoré le joug d’un char.

Mayence, Landesmuseum Mainz

Mayence, Landesmuseum Mainz Große Bleiche 49–51, 55116 Mayence
Ouverture : le mardi de 10h à 20h, du mercredi au dimanche de 10h à 17h
Fermeture : le lundi
Téléphone : (+49) 0 6131/28 57-0

Site Internet

La « Caserne du Cheval d’or » abrite aujourd’hui l’un des plus anciens musées d’Allemagne, le Musée du Land de Rhénanie-Palatinat, dans le centre de Mayence. Il regroupe des objets d’art et d’archéologie datant de la Préhistoire à nos jours.
Est notamment exposée la rarissime figurine de chien en verre polychrome de Wallertheim (Rhénanie-Palatinat). Découverte en 1951 dans une tombe à incinération du IIe siècle av. J.-C., cette représentation animale de 2,1 sur 1,6 centimètre en verre est unique. Le corps en verre bleu est strié de filaments blancs sur sa partie centrale et jaune sur ses extrémités.

Hallein, Keltenmuseum

Hallein, Keltenmuseum Pflegerplatz 5, A-5400 Hallein
Ouverture : tous les jours de 9h à 17h
Téléphone : (+43) 06245/80783

Site Internet

À proximité de Salzbourg, le musée des Celtes de Hallein est installé dans l’ancien bâtiment d’intendance des salines. Il aborde l’histoire de l’exploitation du sel dans la région depuis le début du VIe siècle av. J.-C. jusqu’au Moyen Âge. Le sel constituait alors une ressource particulièrement précieuse, dont l’extraction a assuré la richesse de la région depuis l’âge du Bronze.
Les objets trouvés dans les fouilles des mines de Dürrnberg (Salzbourg), qui appartiennent à l’outillage et à l’équipement des mineurs celtiques, sont exposés. De nombreuses tombes privilégiées, qui ont livré d’extraordinaires ensembles d’objets de luxe, dont des pièces d’art celtique ancien, souligne la grande importance économique et culturelle que revêtait la production du sel. La reconstitution d’une chambre funéraire aristocratique est présentée dans le musée. Les techniques La visite du musée est complétée par la visite des mines de sel, dont les galeries couvrent un kilomètre.

Libramont, Musée des Celtes

Libramont, Musée des Celtes Place Communale 1, B-6800 Libramont, Belgique
Ouverture : du 20 janvier au 30 juin et du 1er septembre au 20 décembre, du mardi au vendredi de 9h30 à 17h, le dimanche et les jours fériés de 14h à 18h ; en juillet et août, du lundi au samedi de 9h30 à 17h, le dimanche et les jours fériés de 14h à 18h.
Fermeture : le samedi et lundi du 20 janvier au 30 juin et du 1er septembre au 20 décembre ; du 21 décembre au 19 janvier.
Téléphone : (+32) 0 61 22 49 76

Site Internet

Dépendant du Centre de recherches archéologiques en Ardenne (CRAA), le musée de Libramont est consacré à l’archéologie celtique de la Belgique méridionale. Les collections sont principalement issues des fouilles entreprises dans les ardennes belges.
De nombreux aspects de la vie quotidienne – illustrés par les parures et la céramique domestique – sont évoqués, avec le monde des morts. La reconstitution d’un char à deux roues illustre la dimension militaire celtique. L’artisanat, le commerce et l’habitat sont aussi présentés.
On peut notamment voir une épée dans son fourreau du Ve siècle avant notre ère, découverte dans une tombe masculine à Warmifontaine (Neufchâteau).
Des nécessaires d’instruments de toilette en fer du Ve siècle, issus de la nécropole de Witry (Neufchâteau) se composent d’une pince à épiler, d’une curette auriculaire et d’une tige bifide (coupe-ongles). Ils montrent que les aristocrates celtiques accordaient une grande attention aux soins du corps.

Copenhague, Nationalmuseet

Copenhague, Nationalmuseet Ny Vestergade 10, Copenhague
Ouverture : du mardi au dimanche de 10h à 17h
Fermeture : le lundi, les 24, 25 et 31 décembre
Téléphone : (+45) 33 13 44 11

Site Internet

Le Musée national de Copenhague est in stallé dans l’ancienne résidence royale, construite au milieu du XVIIIe siècle. Les collections sont constituées de pièces retraçant l’histoire danoise. Elles sont réparties en plusieurs départements : sciences naturelles, sociologie, archives, collections ethnographiques et archéologie.
On peut notamment y admirer le fameux chaudron de Gundestrup, qui date du Ier siècle av. J.-C. Découverte dans une tourbière du Jutland, cette pièce exceptionnelle atteint 69 cm de diamètre et se compose de treize plaques d’argent travaillées au repoussé. Son iconographie illustre la mythologie celtique. On y voit des dieux tels que Cernunnos et Taranis, accompagnés de figures animales exotiques (comme des dauphins) qui témoignent des échanges avec la Méditerranée.

Dublin, National Museum of Ireland-Archaeology

Dublin, National Museum of Ireland-Archaeology Kildare street, Dublin
Ouverture : du mardi au samedi de 10h à 17h, le dimanche de 14h à 17h
Fermeture : le lundi et le 25 décembre
Téléphone : (+353) 1 6777444
Site Internet

Le département d’archéologie du musée national d’Irlande conserve des collections de la Préhistoire au Moyen Âge issus des fouilles nationales, mais aussi d’Égypte et du monde romain. Collectées dès la fin du XVIIIe siècle, les collections n’ont cessé de s’enrichir et comptent aujourd’hui plus de deux millions d’objets. Les objets des âges du Fer ont notamment été retrouvés au XIXe siècle dans des contextes fluviaux, lors de drainages, ou dans des tourbières. Des bijoux, des armes ou encore du matériel domestique ont été découverts.
Le trésor de Broighter (Derry) est notamment exposé. Il s’agit d’un dépôt votif d’objets en or composé d’un navire miniature, d’une coupe, d’un collier et de deux torques. L’ensemble date de la fin du Ier siècle av. J.-C.
Le pavillon de trompette en bronze provenant de Loughnashade (Munster) est décoré d’esses en faible relief dont les extrémités sont rehaussées de cercles. C’est un chef d’œuvre de l’art celtique insulaire datant des alentours du Ier siècle av. J.-C.

Prague, Narodni Muzeum

Prague, Narodni Muzeum Václavské náměstí 68, 110 00, Prague
Musée actuellement fermé au public.
Téléphone : (+42) 0224 497 111

Site Internet

Situé sur la place Venceslas, le Musée national de Prague a été fondé en 1818 sous le nom de Musée patriotique de Bohême. Ses collections concernent à la fois l’histoire, les sciences naturelles et la musique tchèque.
La tête sculptée de Msecké Zehrovice (Tchécoslovaquie), datée du milieu du IIe siècle av. J.-C., est exposée. Découverte dans un sanctuaire accompagnée d’ossements d’animaux sacrifiés, elle montre un visage schématique, aux yeux en amande rapprochés d’un nez en léger relief. Les sourcils et la moustache sont des volutes incisées dans la pierre. Sous le long et large menton se distingue un torque à tampons.
On peut aussi voir la figurine en bronze d’un joueur de carnyx du Ier siècle avant notre ère, découverte à Stradonice (Tchécoslovaquie). Ce petit personnage à l’anatomie disproportionnée a des formes courbes et lisses. Son visage est expressif, des ouvertures circulaires distinguent ses yeux et sa bouche tandis que le nez n’est qu’esquissé. Il tient dans sa main droite une trompette qu’il fait reposer sur son épaule.

Bucarest, Muzeul National de Istorie

Bucarest, Muzeul National de Istorie Bucarest, Muzeul National de Istorie Calea Victoriei, nr.12, sect. 3, 030026 Bucarest
Ouverture : de mercredi à dimanche, de mars à octobre de 10hà 18h, de novembre à février de 9h à 17h.
Fermeture : le lundi et mardi.
Téléphone : (+40) 21 315 82 07
Site Internet

Le Musée national d’histoire de Roumanie, installé dans l’ancien Palais des services postaux, retrace sur plus de 8000 m2 l’histoire de la Roumanie de la Préhistoire à l’époque moderne.
Ce musée expose un casque celtique unique, surmonté d’un rapace aux ailes articulées en bronze et fer, découvert dans une nécropole à Ciumesti (Roumanie) et daté du début du IIIe siècle av. J.-C. Ce casque a été trouvé dans la tombe d’un prince qui n’en était pas le possesseur. Il appartenait à ses ancêtres puisque la nécropole où il fut trouvé est datée du début du IIe siècle avant notre ère.

Édimbourg, National Museum of Scotland

Édimbourg, National Museum of Scotland Chambers street, EH1 1JF Edinburgh
Ouverture: Tous les jours, de 10h à 17h ; les 26 décembre, 1er et 2 janvier de 12h à 17h
Fermeture : le 25 décembre
Téléphone : (+44) 0300 123 6789

Site Internet

Installé dans un bâtiment moderne, le Musée de l’Ecosse est dédié à l’histoire et la culture écossaise depuis la Préhistoire. De nombreux objets des âges de Fer sont présentés, comme un rare pavillon de carnyx en bronze en forme de hure de sanglier du Ier siècle de notre ère, découvert à Deskford (Banffshire).
Un bracelet en spirale des Ier et IIe siècles de notre ère, trouvé à Culbin Sands (Moray), présente un décor différent sur chacune de ses trois spirales. Seuls huit bracelets de ce type sont connus, dont sept en Écosse.

Cardiff, National Museum of Wales

Cardiff, National Museum of Wales Cathays Park, CF10 3NP Cardiff
Ouverture : du mardi au samedi de 10h à 17h
Fermeture : le lundi
Téléphone : (+44) 029 2039 7951

Site Internet

Ouvert depuis 1927, le musée national du Pays-de-Galles expose l’art, l’archéologie et la géologie gallois, et présente des collections d’histoire naturelle. La galerie archéologique dresse un panorama de la présence humaine de l’âge de Pierre au Moyen Âge. On peut notamment y voir le chenet en fer de Capel Garmon (Conwy), qui représente un taureau dont la crinière est bouletée. Réalisé entre le Ier siècle avant notre ère et le Ier siècle après J.-C., découvert dans un champ en 1852, cet objet est peut-être une offrande à un dieu ; il manifeste en tout cas le savoir-faire de son forgeron. Des chenets du même type et datant des âges du Fer ont été trouvés au sud-est de l’Angleterre.

Londres, British Museum

Londres, British Museum Great Russell Street, Londres, WC1B 3DG Grande-Bretagne
Ouverture: Tous les jours, de 10h à 17h30
Téléphone : (+44) 020 7323 8181

Site internet

Le British Museum est le plus grand musée archéologique du Royaume-Uni. Les collections celtiques se composent d’objets de la vie quotidienne, de mobilier funéraire ou encore d’armes de guerre. Sont exposés notamment, dans la collection Morel, les vestiges des tombes à char de Somme-Bionne et de Prunay (Marne).
De nombreux objets de l’âge du Fer britannique proviennent de milieux aquatiques anglais, du fond de la Tamise à la rivière de Peterborough, en passant par les anciens cours d’eau de Chertsey. Un unique exemple de casque à corne trouvé dans la Tamise est exposé. De part et d’autre du sommet se dressent en biais deux grands cônes.
L’oenochoé en bronze de Basse-Yutz (Moselle) est richement décorée de corail et d’émail rouge. Une figure animale relie l’épaule et l’embouchure du vase servant ainsi d’anse. Le pied et le bec montrent un décor géométrique constitué de petites pièces rapportées incrustées.

Le Laténium- Parc et musée d’archéologie Hauterive-Neuchâtel

Le Laténium- Parc et musée d’archéologie Hauterive-Neuchâtel Espace Paul Vouga, 2068 Hauterive, Suisse.
Ouverture : mardi-dimanche, 10h-17h.
Fermeture : le lundi
Téléphone : (+41) 032 889 6917

site Internet

Le Laténium doit son nom au site de La Tène, sur les rives du Lac de Neuchâtel, où à été découverte en 1857 une grande quantité d’objets métalliques dont les caractéristiques ont permis d’identifier la culture matérielle de la civilisation celtique. Cette civilisation européenne, qui a duré des environs de 450 av. J.-C. à la conquête romaine, a donc reçu le nom de période de La Tène.
Le musée s’étend sur plus de 2000 mètres carrés et comprend un parc, un laboratoire et les locaux du service archéologique du canton de Neuchâtel.
Le musée se concentre sur l’histoire régionale, de l’époque de l’Homme de Neandertal jusqu’à nos jours. Les découvertes du site de La Tène, qui comportent de nombreux éléments d’armement datés du IIIe siècle av. J .-C. permettent d’appréhender la richesse et le razffinement de la civilisation celtique contelmooraine de la période gauloise.

Les lieux gaulois

Rennes, Musée de Bretagne

Rennes, Musée de Bretagne 10, cours des Alliés, 35000 Rennes
Ouverture : du mercredi au vendredi de 12h à 19h, le week-end de 14h à 19h, le mardi de 12h à 21h.
Fermeture : le lundi et les jours fériés.
Téléphone : 02 23 40 66 00

Site Internet

Situé à proximité des quais de la Vilaine, ce musée est dédié à l’art et à l’archéologie régionale de la Préhistoire au XXe siècle, avec la présentation d’une collection riche de plus de 2000 objets.
On y découvre en particulier une statue en pierre de personnage masculin tenant une lyre à sept cordes – peut-être un barde ? – datée du second siècle avant notre ère, qui a été découverte lors des fouilles de la forteresse aristocratique gauloise de Paule (Côtes-d’Armor).

Aire-sur-l’Adour

Aire-sur-l’Adour L’oppidum d’Atura est la capitale du peuple des Tarusates. L’agglomération celtique est soumise aux Romains en 56 av. J.-C. par le général Crassus.

Agen

Agen L’oppidum d’Aginnum était la capitale du peuple des Nitiobriges (« ceux qui ont leur propre pays »). On peut aussi les voir nommés « Nitiobroges » par Jules César ou dans la table de Peutinger. Ce peuple s’est installé aux IIIe et IIe siècles av. J.-C. dans la vallée de la Garonne. Les Nitiobriges envoient un contingent d’environ 5000 hommes en renfort à Vercingétorix lors du siège d’Alésia en 52 av. J.-C.
L’oppidum d’Aginnum est installé sur un éperon rocheux afin de pouvoir surveiller la vallée et les voies antiques qui s’y croisent. L’agglomération celtique s’est développée sur une surface d’environ 80 hectares.

Bazas

Bazas Cossium est la capitale du peuple des Vasates, occupée depuis le premier âge du Fer. Sa position lui permet de contrôler les échanges commerciaux entre Bordeaux et Toulouse.

Bordeaux

Bordeaux L’agglomération celtique de Burdigala est la capitale du peuple des Bituriges Vivisques (« Bituriges déplacés »), fondée au IIIe siècle av. J.-C. Ils sont originaires de la région de Bourges, capitale des Bituriges Cubes. Ils sont mentionnés pour la première fois par Strabon, un géographe grec, aux Ier siècle avant J.-C., puis par Pline et Ptolémée.

Gergovie

Gergovie C’est sur le plateau de Gergovie qu’a lieu en 52 avant notre ère une bataille décisive entre les armées rassemblées par Vercingétorix et les Romains. Les combats se soldent par la victoire temporaire des Gaulois.
La capitale du peuple des Arvernes (« ceux qui sont supérieurs ») est transférée à Gergovie, après le déclin de l’oppidum de Corent. Ce peuple est alors le plus puissant du centre de la Gaule, et en rivalité avec celui des Eduens.

Le-Puy-en-Velay

Le-Puy-en-Velay Au IIe siècle avant notre ère, le peuple des Vellaves (« montagnards » ou « ceux qui dominent ») transfert sa capitale à Anicium. Les Vellaves font partie de la Confédération des Arvernes. Leur oppidum est placé en hauteur ce qui lui vaut le nom de Ruessio, qui signifie « bien situé ». Cette capitale est mentionnée chez Ptolémée et dans la Table de Peutinger.

Avranches

Avranches Ligedia ou Legedia est la capitale du peuple des Abrincates. Ceux-ci sont notamment mentionnés par Pline l’Ancien au premier siècle de notre ère et par César dans ses Commentaires de la Guerre des Gaules

Coutances

Coutances Cosedia est la capitale du peuple gaulois des Unelles. En 56 av. J.-C., ceux-ci se rallient aux Vénètes lors de la révolte contre l’invasion romaine, puis envoient à Vercingétorix un contingent d’environ 3000 hommes en renfort lors du siège d’Alésia.

Lisieux

Lisieux Signifiant littéralement « nouveau marché », Noviomagus est la capitale du peuple des Lexoviens (« les boiteux »). Cet oppidum est mentionné par César dans ses Commentaires de la Guerre des Gaules. Ce peuple commerçait avec la Gaule Cisalpine, la Bretagne (actuel Royaume-Uni) et le Midi en échangeant du plomb et de l’étain contre de l’huile et du vin.

Vieux-la-Romaine

Vieux-la-Romaine Aregenua (« au dessus de l’embouchure ») est la capitale du peuple des Viducasses (« ceux qui ont la chevelure emmêlée comme les branches d’un arbre »). Selon la table de Peutinger, cette cité est un point de passage au nord de la Gaule.

Alise-Sainte-Reine

Alise-Sainte-Reine Alésia est la capitale du peuple des Mandubiens, où se retire Vercingétorix. En 52 av. J.-C. le siège de cet oppidum par les armées de Jules César s’est soldé par la victoire des Romains et la fin de la Guerre des Gaules.

Bibracte

Bibracte Bibracte est la capitale du puissant peuple des Eduens (« hommes du feu »). Alliés depuis 121 av. J.-C. avec les Romains, ils sont nommés par le Sénat romain « frères de la République ». César décrit ce peuple comme étant le plus puissant de toute la Gaule grâce à ses nombreuses relations commerciales.
Les Eduens rejettent leur alliance avec Rome lors du soulèvement de Vercingétorix, jeune souverain du peuple des Arvernes, qui est élu général en chef des armées de l’insurrection gauloise à Bibracte. Cependant, après la défaite d’Alésia en 52 avant notre ère, le rôle de Bibracte sera transféré à la nouvelle romaine d’Autun.

Decize

Decize Dans le département de la Nièvre, Decize (Decetia) est un oppidum du peuple des Eduens. Mentionnée par César dans ses Commentaires de la Guerre des Gaules, Decetia aurait été le lieu de réunion du sénat gaulois pour régler le conflit entre deux chefs éduens pour la magistrature suprême de la cité gauloise. Dans l’optique d’établir une alliance, César choisit Convictolitavis pour assurer cette fonction.

Sens

Sens Agedincum est la capitale du peuple des Sénons (« les anciens »), en Lyonnaise. César évoque cet oppidum dans ses Commentaires de la Guerre des Gaules. Six de ses légions y passent l’hiver en 53 avant notre ère. Au IVe siècle av. J.-C., Brennos a été le souverain d’Agedincum. Connu pour ses exploits militaires, il était notamment à la tête des armées gauloises lors du sac de Rome en 390 av. J.-C.

Alet

Alet Aletum est la capitale du peuple des Coriosolites (corio- signifiant « armée ») dès 80 avant notre ère. Cette agglomération celtique est située sur un éperon rocheux dominant le cours de la Rance.

Carhaix

Carhaix L’agglomération celtique de Carhaix (Vorgium) est la capitale du peuple des Osismes (« les plus hauts », « ceux du bout du monde »). Ceux-ci sont cités pour la première fois par le navigateur grec Pythéas au IVe siècle av. J.-C. Les Osismes sont soumis à Rome en 57 avant notre ère mais auraient fait partie des renforts envoyés à Vercingétorix lors du siège d’Alésia en 52 av. J.-C. Selon la table de Peutinger, la cité gauloise de Vorgium aurait été située à un carrefour important de voies commerciales.

Rennes

Rennes Condate, signifiant littéralement « confluent », est la capitale du peuple des Redones (« aller en char »). Ceux-ci sont mentionnés par César dans ses Commentaires de la Guerre de Gaules dans la mesure où ils participent à la coalition armoricaine contre la présence romaine en Gaule.

Vannes

Vannes L’oppidum de Vannes (Darioritum) est la capitale du peuple des Vénètes et est occupé depuis le Ve siècle avant notre ère. Il est mentionné par le géographe Ptolémée au second siècle avant notre ère et visible dans la table de Peutinger. Les Vénètes sont un peuple de commerçants doté d’une flotte importante. Leurs relations s’étendent des îles britanniques jusqu’au nord de l’Italie. En 56 av. J.-C., pendant la Guerre des Gaules, la guerre des Vénètes, qui oppose la coalition des peuples armoricains aux Romains, se solde par la victoire de ces derniers.

Bourges

Bourges Avaricum est la capitale du peuple des Bituriges Cubes (« les rois du monde »). Durant la Protohistoire, la cité s’est développée sur une grande surface, a été abandonnée vers la fin Ve siècle av. J.-C. puis s’est repeuplée au second siècle avant notre ère. Lors de la Guerre des Gaules, les Bituriges Cubes font partie de la Confédération éduenne, où ils sont placés sous la protection de ces derniers. César réussit malgré tout à prendre la cité, considérée alors comme « la plus belle de toute la Gaule » au terme d’un siège éprouvant.

Chartres

Chartres Capitale du peuple des Carnutes, la cité de Chartres (Autricum) est un important centre religieux en Gaule. Il s’y tient chaque année l’assemblée des druides. La richesse des Carnutes provient principalement de l’exploitation agricole du plateau de la Beauce et du commerce avec le nord de la Gaule.

Neung-sur-Beuvron

Neung-sur-Beuvron L’oppidum de Neung-sur-Beuvron (Noiodonum Biturigum) appartenant aux Eduens est en 52 av. J.-C. le théâtre d’une bataille opposant Vercingétorix aux Romains, que mentionne César dans ses Commentaires de la Guerre des Gaules. Les romains sont défaits par les Gaulois. L’agglomération celtique a par la suite été pillée puis incendiée.

Orléans

Orléans Orléans (Genabum/ Cenabum) :
La ville-marché d’Orléans (Gebanum / Cenabum), marché du peuple des Carnutes, est conquise par César en 52 av. J.-C. En réponse aux actes de guerre de la résistance gauloise, l’agglomération celtique est pratiquement entièrement détruite par les Romains. La cité possédait un port sur la Loire, lui conférant ainsi une grande prospérité commerciale.

Sancerre

Sancerre Gortona est une agglomération celtique du peuple des Boïens (« les terribles »). On les trouve implantés à de nombreux endroits d’Europe comme en Germanie ou dans l’actuelle Italie. L’origine des Boïens demeure floue.
Battus en 58 av. J.-C. par les Romains alors qu’ils accompagnent la migration des Helvètes, les Boïens sont déplacés dans la région de Sancerre après avoir été confiés aux Eduens. Une autre branche de ce peuple est installée dans la région d’Arcachon.

Tours

Tours La cité de Caesarodunum (« colline de César ») est la capitale du peuple des Turones (« les forts » ou « les changeants »). En 57 av. J.-C., Jules César passe l’hiver dans une de leurs cités. Plus tard, ces Gaulois s’allient à Vercingétorix et lui envoient environ 8000 hommes en aide au siège d’Alésia en 52 av. J.-C. Les Turones vaincus sont déportés en Italie et mis en esclavage.

Langres

Langres Langres ou Andemantunnum est la capitale des Lingons (« les sauteurs » ou « les bondisseurs »). Cette agglomération celtique bénéficiait aussi de ressources agricoles et minières. Sa position de carrefour lui permit de commercer entre le nord et le sud de la Gaule. Elle est nommée dans la table de Peutinger et dans l’itinéraire d’Antonin.

Reims

Reims L’oppidum de Durocortorum est la capitale du peuple des Rèmes. Son nom d’origine, Durocorter, pourrait signifier « forteresse ronde » en langue celtique.
Lors de la Guerre des Gaules, les Rèmes se sont alliés aux Romains, ce qui fut favorable pour la cité qui acquit après la conquête romaine le statut de cité fédérée et indépendante.
Selon César, les Rèmes étaient fortement liés aux Suessions juridiquement et politiquement. Strabon indique quant à lui que Durocorturum était « la ville la plus peuplée du pays ».

Troyes

Troyes La cité de Troyes (Agustubona) est la capitale du peuple des Tricasses. Des géographes grecs mentionnent cette agglomération celtique dès le premier siècle avant notre ère.

Besançon

Besançon Le peuple gaulois des Séquanes a comme capitale l’actuelle ville de Besançon. L’oppidum de Vesontio occupe l’intérieur d’une boucle du Doubs et sera finalement conquis par les Romains en 58 avant notre ère, au début de la Guerre des Gaules.
César décrit Vesontio comme occupant un carrefour d’échanges de la Gaule romaine. Sa prospérité place la cité au rang de plus grande agglomération celtique de la Gaule Belgique.

Evreux

Evreux Mediolanum Aulercorum (« centre du territoire ») est la capitale du peuple des Aulerques Eburovices (« sanglier » ou « if »). Ceux-ci sont membres de la confédération des Aulerques. Le sanctuaire était situé sur le site actuel du Vieil-Evreux.

Rouen

Rouen Rotomagos est la capitale du peuple des Veliocasses (« les bouclés »). César les cite dans ses Commentaires de la Guerre des Gaules où il rapporte qu’en 57 av. J.-C., les Veliocasses rejoignent la coalition des Belges afin d’affronter les Romains. En 52 av. J.-C., lors du siège d’Alésia, ils envoient un contingent d’environ 3000 hommes en renfort à Vercingétorix.

Paris

Paris L’oppidum de Lutèce (Paris ?) est la capitale du peuple des Parisii. La première mention de cette agglomération celtique est due à César en 53 avant notre ère. L’année suivante, la ville gauloise est ravagée durant la Bataille de Lutèce, qui se solde par la victoire des Romains.

Metz

Metz situé au confluent de la Moselle et de la Seille, l’oppidum de Metz (Divodurum Mediomatricorum)est la capitale du peuple des Médiomatrices/ Médiomatriques (« ceux au milieu des Eaux-Mères »). Ce peuple est mentionné par César dans ses Commentaires de la Guerre des Gaules, par Tacite et sur la table de Peutinger. Les Médiomatriques contrôlaient vraisemblablement l’exploitation du sel de la vallée de la Seille, qu’ils commercialisaient. Lors du siège d’Alésia en 52 av. J.-C., ils envoient un contingent d’environ 5000 hommes pour venir en aide à Vercingétorix.

Naix-aux-Forges

Naix-aux-Forges situé sur un éperon dominant l’emplacement de la future ville romaine de Nasium, l’oppidum de Boviolles est la capitale du peuple des Leuques (« les fulgurants »). Ceux-ci ne sont cités qu’une seule fois dans les Commentaires de la Guerre des Gaules. En 58 avant notre ère, lorsque les armées romaines font halte à Vesontio (Besançon) avant d’affronter les tribus germaniques, les Leuques leur fournissent du blé.

Auch

Auch L’agglomération celtique est la capitale du peuple des Ausques. La ville a été installée dans la plaine, ce n’était pas un oppidum.

Eauze

Eauze L’agglomération celtique de Eauze (Elusa) est la capitale du peuple des Elusates et de la Novempopulanie. Ceux-ci sont alliés avec les Sotiates, peuple implanté dans la vallée de Sos, afin de se défendre contre l’invasion romaine. Les Elusates seront finalement soumis par les Romains.

Lectoure

Lectoure Lactora est la capitale du peuple des Lactorates, mentionnés dans la table de Peutinger et faisant partie de la Novempopulanie. Ceux-ci ne se sont pas opposés à la conquête romaine. Ceci peut expliquer que les Lactorates ont été peu mentionnés dans les sources historiques antiques.

Puy d’Issolud

Puy d’Issolud L’oppidum de Puy d’Issiludfut en 51 avant notre ère le lieu de la dernière bataille de la Guerre des Gaules, remportée par les Romains après un siège particulièrement éprouvant pour les assiégés, que les Romains condamnèrent à mourir de soif. Appartenant au peuple des Cadurques, cette agglomération fortifiée vit le repli de milliers de combattants gaulois, conduits par les chefs Drappès et Lucterios.

Rodez

Rodez L’oppidum de Segodunum (« haute colline », « place forte ») est la capitale du peuple des Rutènes (« les blonds »). L’occupation de ce site remonte au Ve siècle avant notre ère. Le peuple des Rutènes a été cité pour la première fois par Cicéron en 69 av. J.-C. César les nomme dans ses Commentaires de la Guerre des Gaules et Ptolémée évoque leur capitale Segodunum. Les premières confrontations entre les Rutènes et les Romains ont lieu en 121 av. J.-C., se soldant par la défaite des Gaulois.

Tarbes

Tarbes Tarba est la capitale du peuple des Bigerrions. L’agglomération celtique a été fondée au IIIe siècle av. J.-C. puis a été soumise aux Romains en 56 av. J.-C.

Arras

Arras Nemetacum ou Nemetocenna est la capitale du peuple des Atrébates (« ceux qui habitent » ou « ceux qui possèdent des villages »). Selon César, il s’agit d’une population germanique s’étant établie dans le nord de la Gaule entre les IVe et IIe siècles av. J.-C. Au IIe siècle avant notre ère, une partie de ce peuple s’installe en Bretagne (actuel Royaume-Uni). Les Romains conquièrent la région en 56 av. J.-C. Lors du siège d’Alésia, environ 4000 combattants Atrébates sont envoyés en aide à Vercingétorix.

Thérouanne

Thérouanne L’agglomération de Thérouanne (Taruanna) est la capitale du peuple des Morins (« ceux de la mer »). Ceux-ci sont mentionnés pour la première fois par César. L’implantation particulière de Taruanna permettait la traversée la plus courte de la mer pour atteindre la Bretagne (actuel Royaume-Uni). Environ 5000 soldats morins sont énvoyés lors du siège d’Alésia afin de venir en aide à Vercingétorix.

Angers

Angers Littéralement « le marché de Jules (César) », Juliomagus est la capitale du peuple des Andes ou Andécaves (« grands héros » ou « grands guerriers »). Ces derniers se sont installés au nord de la Loire vers le Ve siècle avant notre ère.

Jublains

Jublains Noviodunum (« nouvelle ville ») est la capitale du peuple des Aulerques Diablintes, membres de la confédération des Aulerques. Ceux-ci participent au soulèvement des Vénètes en 56 av. J.C. Le géographe Ptolémée mentionne ce peuple et son chef-lieu au IIe siècle après J.-C.

Le Mans

Le Mans Vindunum (Vidéo) est la capitale du peuple des Aulerques Cénomans, membres de la confédération des Aulerques. Selon César, 5000 combattants cénomans sont envoyés à en renfort à Vercingétorix lors du siège d’Alésia.

Amiens

Amiens L’agglomération celtique d’adminens (Samarobrivad) est la capitale du peuple belge des Ambiens (« ceux qui sont des deux côtés »). Leur nom est du à leur voisinage, composé des Atrébates, des Bellovaques, des Nerviens et des Calètes. Cette agglomération celtique est peu citée dans les sources historiques antiques. Néanmoins, César indique dans ses Commentaires de la Guerre des Gaules que ses troupes y passent l’hiver 54-53 av. J.-C. après leur tentative de conquête de l’actuelle Grande-Bretagne.

Vermand

Vermand L’oppidum de Viromandis est la capitale du peuple des Viromanduens (« hommes petits », « hommes chevaux » ou « ceux qui écrasent les hommes »). D’origine germanique, ils ont émigré vers le nord de la Gaule aux environs du IIIe siècle av. J.-C. Ils sont mentionnés pour la première fois par César dans ses Commentaires de la Guerre des Gaules de César, puis par Tite-Live, Pline, Ptolémée et enfin dans la Table de Peutinger.

Poitiers

Poitiers L’oppidum gaulois de Poitieres (Lemonum / Limonum) est le chef-lieu du peuple des Pictons. Le souverain ce peuple, Duratios, avait un pouvoir limité. Les Pictons ne suivaient pas l’organisation politique traditionnelle. Lors de la Guerre des Gaules, les Pictons se divisent entre ceux qui suivent Vercingétorix et ceux qui, comme le souverain, restent fidèles au Romains.

Saint-Rémy-de-Provence

Saint-Rémy-de-Provence Le site de Glanum a été fondé lors de la période de Hallstatt autour d’un lieu de culte, une source associée au dieu Glan. L’oppidum se développe au IIe siècle avant notre ère. Le peuple auquel appartient Glanum fait partie de la confédération des Salyens dont la capitale est Entremont (Bouches-du-Rhône). Au début du premier siècle avant notre ère, la ville est partiellement détruite puis reconstruite. Finalement, lorsque César soumet Marseille en 49 av. J.-C., Glanum devient une cité romaine.

Lyon

Lyon Lugdunum a été historiquement fondée par les Romains en 43 av. J.-C. et est devenue la capitale des Gaules en 27 avant notre ère. Toutefois, l’occupation du site remonte au VIe siècle av. J.-C. sur la colline de Fourvière. Littéralement « colline/forteresse du dieu Lug », divinité de la lumière, sa fondation est légendaire : dans la mythologie gauloise, le roi Atepomaros et son frère Momoros sont arrivés du nord sur une colline au bord de la Saône. Alors qu’ils construisent une cité, ils sont environnés de corbeaux qui annoncent la présence du dieu Lug.

Avenches

Avenches Aventicum est la capitale du peuple des Helvètes dès 15 av. J.-C. Ceux-ci avaient le projet d’émigrer vers l’ouest de la Gaule, mais furent contraints de faire demi-tour face à l’armée romaine lors de la bataille de Bibracte, en 58 av. J.-C., qui allait déclencher le début de la Guerre des Gaules. L’essor de cette agglomération se situe aux IIe et IIIe siècles de notre ère, durant lesquels sa population est estimée à environ 20 000 habitants. Aventicum bénéficiait de sa position au sein d’un réseau routier et fluvial développé, la plaçant au carrefour de la Suisse antique.

Source / Musée Saint Germain en Laye

Autres Liens :

… liens en cours de construction

Ministères

– Ministère de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle (Luxembourg)

Musées

– Musée d’Archéologie Nationale (MAN) (Saint-Germain-en-Laye, 78, Yvelines)
– Musée archéologique de Dijon (Dijon, 21, Côte d’Or)
– Musée archéologique – Eburomagus (Bram, 11, Aude)
– Espace Gallo-romain d’Ath (Ath, Belgique)
– Musée d’Archéologie et d’Histoire naturelle de Montbéliard (Montbéliard, 25, Doubs)
– Musée de Cholet (Cholet, 49, Maine-et-Loire)
– Musée de Brou (Bourg-en Bresse, 01, Ain)
– DVDC- Site de Domremy (Domremy-la-Pucelle, 88, Vosges)
– Archéosite de la Haute-Ile (Neuilly-sur-Marne, 93, Seine-Saint-Denis)
– Musée archéologique de Soissons (Soissons, 02, Aisne)
– Centre archéologique du Var (Toulon, 83, Var)
– Musée de préhistoire – Aven d’Orgnac (Orgnac l’Aven, 07, Ardèche)
– Musée d’Art-Histoire-Archéologie (Évreux, 27, Eure)
– Musée d’Archéologie de Feurs (42, Loire)
– Musée Vivant Denon (Chalon-sur-Saône, 71)
– Halle du Verre de Valflaunès (34, Hérault)
– Musée d’Archéologie de Sciez-sur-Léman (74, Haute-Savoie)
– Musée d’Archéologie de Soyons (07, Ardèche)
– Musée d’Archéologie d’Harfleur (76, Seine-Maritime)
– Musée d’Art et d’Histoire (Pontarlier, 25, Doubs)
– Musée de Borda (40 Dax, Landes)
– Musée d’Évreux (Évreux, 27, Eure)
– Musée de La Castre (Nice, 06, Alpes-Maritime)
– Musée de l’Ours des Cavernes en Chartreuse (Entremont le Vieux, 73, Savoie)
– Musée de Sarreguemines (57, Moselle)
– Musée National d’Histoire et d’Art du Luxembourg
– Musée des Beaux-Arts de Rennes (35, Rennes, Ille-et-Vilaine)
– Musée St Rémi (Reims, 51, Marne)
– Jardin archéologique de Saint Acheul (80, Somme)

Conseils généraux

– Conseil Général de l’Essonne (91, Essonne)
– Conseil Général du Pas-de-Calais (62, Pas-de-Calais)
– Conseil Général de Saône-et-Loire (71, Saône-et-Loire)

Associations

– Patrimoine préhistorique de la Haute-Saône (Chargey-les-Gray, 70, Haute-Saône)
– Les sentinelles du Bilal al Sham (Mécrin, 55, Meuse)
– Les Tours Mirandes (Vendeuvre du Poitou, 86, Vienne)
– Association archéologique GAUL (Villeneuve d’Ascq, 59, Nord),
– Association Art Terre de Loire (Chênehutte-Trèves-Cunault, 49, Maine-et-Loire)
– Centre de loisirs de Parçay-Meslay (Parçay-Meslay, 37, Indre-et-Loire)
– La compagnie de La Croix Noire (Conchil-le-Temple, 62, Pas-de-Calais)
– Groupement archéologique du Mâconnais (Mâcon, 71, Saône-et-Loire)
– Club-archéo (Toulouse, 31, Haute-Garonne)
– Association Les Amis de l’École (Chapelle-des-Bois, 25, Doubs)
– La Diana, Société Historique etArchéologique du Forez (Montbrisson, 42, Loire)
– Vacances Animation Loisirs (Courbevoie, 92, Hauts-de-Seine)
– Passeurs d’Histoire (Lille, 59, Nord)
– Archéa (Louvres, 95, Val-d’Oise)
– Association Pour Alésia (21, Côte-d’Or)
– Ename Center for Public Archaeology and Heritage Presentation (Oudenaarde, Belgique)
– Harriak (64, Pyrénées-Atlantiques)
– Association « Vivre à Valflaunès » (34, Hérault)
– Société Languedocienne de Préhistoire (34, Hérault)

Médiathèques

– Pôle culturel Jean-Claude Izzo (13, Bouches-du-Rhône)

Universités – Collèges

– Université du Luxembourg, campus de Walferdange (Grand-Duché de Luxembourg)
– Université de Luxembourg, Campus de Limpersberg (Grand Duché de Luxembourg)
– New York University (New York, États-Unis)
– Stony Brook University (New York, États-Unis)
– École européenne de Mamer (Mamer, Grand Duché de Luxembourg)
– Collège et Lycée des Augustins (Pontarlier, 25, Doubs)
– Collège Paul Éluard (Saint-Étienne au Mont, 62, Pas-de-Calais)
– Collège Montesquieu Sainte-Marie (Le Havre, 76, Haute-Normandie)
– Caisse des écoles du 11e arrondissement (Paris, 75, France)
– Collège Philippe Grenier (25, Pontarlier, Doubs)
– Collège de Saint-Andiol (13, Bouches-du-Rhône)
– Collège Jean Lolive (Pantin, 93, Seine-Saint-Denis)
– Collège Belrem (Beau rainville, 62, Pas-de-Calais)
– École Nicolas Busson (Orchamps-Vennes, 25, Doubs)

Maisons du patrimoine

– Collège jean Lolive (Pantin, 93)
– École Nicolas Busson (Orchamps-Vennes, 25)
– Collège Belrem (Beau rainville, 62)
– Maison du patrimoine de La Cadière d’Azur (83, Var)

Communautés de communes

– Communauté d’agglomérations du pays de Montbéliard (Montbéliard, 25)
– Communauté d’agglomérations, Hôtel de Rennes Métropole (Renne, 35)
– Communauté d’agglomération Rennes Métropole (Rennes, 35, Finistère)
– Agglomération du Grand Chalon, Service Environnement (Chalon-sur-Saône, 71, Saône-et-Loire)
– Communauté de communes Roissy-Porte de France (Roissy-en-France, 95)
– Communauté de communes du Larmont (Pontarlier, 25)
– Communauté de communes de l’Hortus (34, Hérault)
– Communauté de communes des Hauts du Doubs (25, Doubs)
– Communauté de communes Rhône-Crussol (Guilherand-Granges, 07, Ardèche)
– Communauté de communes du Piémont Oloronais (Oloron-Sainte-Marie, 64, Pyrénées atlantiques)
– Communauté de communes Tarn et Dadou (Gaillac, 81, Tarn)

Centres Régionaux de Documentation Pédagogiques

– CRDP de Poitou-Charentes
– CRDP – SCEREN de Lille (Lille, 59)

Centre des monuments nationaux

– Centre des monuments Nationaux d’Aigues-Mortes (Aigues-Mortes, 30, Gard)

Entreprises

– Archéo Diffusion (Margencel, 74, Haute-Savoie)
– Par Belenos (01, Monthieux, Ain) (société : culture, tourisme et patrimoine)
– L’atelier des Verriers (Issigeac, 24, Dordogne)

Service Régional d’Archéologie

– SRA de Lyon (69, Rhône)
– SRA du Morbihan (Vannes, 56, Morbihan)

EXPOSITIONS GRANDS FORMATS AUXERRE 2021

EXPOSITIONS GRANDS FORMATS AUXERRE 2021,

L’abbaye Saint-Germain accueille l’exposition « Grands formats »

En 2021, l’exposition « Grands Formats » a lieu du samedi 27 novembre 2021 au dimanche 30 janvier 2022.

cette exposition est organisée par le collectif d’artistes Mouv’Art avec l’aide de la ville d’Auxerre.

c’est une quinzaine d’artistes de Mouv’art qui exposent leurs œuvres grands formats, peinture, céramique, sculpture, 3D…

En fin d’exposition, deux prix seront attribués :

  • le Prix de la Ville d’Auxerre attribué par la Ville et décerné par un jury de professionnels indépendants de Mouv’art
  • le Prix du Public attribué par Mouv’art à l’artiste recueillant le plus grand nombre de votes.

Une urne sera sur place pour recueillir les bulletins.

Tous les jours, sauf le mardi, de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures.
à précisier pour le 25 et 30 décembre et 1 janvier.

Entrée libre.